Dans un labyrinthe de cadres qui s’enfoncent comme des portes secrètes,
une lumière d’or se déploie en vagues métalliques.
Au centre, lovée comme un secret cosmique,
une sphère bleue pulse doucement —
goutte d’univers, fragment de nuit profonde,
étoile capturée dans un écrin de cuivre et d’ambre.
Les feuilles dorées se froissent comme si un souffle ancien
venait effleurer la matière.
Chaque angle devient passage,
chaque reflet devient murmure,
et l’ensemble semble inviter le regard
à une lente descente vers le cœur du mystère.
C’est un voyage intérieur,
un puits de lumière où la géométrie se fait poésie
et où le bleu, minuscule et vibrant,
rappelle que même au centre de l’obscur,
une étincelle veille encore.